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Ces derniers temps, les médias font de plus en plus souvent état de dangereux cocktails de médicaments pris par les jeunes, le plus souvent mélangés à de l'alcool. Certain·e·s jeunes font en effet des expériences avec des médicaments qu’ils et elles consomment à des fins récréatives, ce qui peut avoir des conséquences fatales.

Depuis 1992, l’Office fédéral de la statistique (OFS) mène tous les cinq ans une enquête sur la santé de la population. Selon les derniers résultats, l’état sanitaire général n’a pratiquement pas changé par rapport aux années précédentes : en 2022, 85 % de la population de plus de 15 ans se sentait en bonne santé, et 83 % se disait heureuse.

La mise en place d’un accès légal au cannabis à des fins récréatives peut s’inspirer de l’expérience tirée de la réglementation de l’alcool et du tabac. Le contrôle des prix ainsi que la restriction de la publicité et de la disponibilité des produits sont les mesures les plus efficaces pour réduire la consommation légale de substances addictives, selon une étude de l’université de Nouvelles Galles du Sud (Australie) mandatée par l’Office fédéral de la santé publique.

Plusieurs pays ont développé des modèles alternatifs à la vente commerciale de cannabis à des fins récréatives (p. ex. Canada, USA, Uruguay). Parmi les solutions à but non lucratif déjà en place, la production personnelle, les Cannabis Social Clubs (CSC) et les monopoles de vente étatiques constituent les plus importantes. Une étude de RAND, mandatée par l’Office fédéral de la santé publique, a analysé ces modèles et effectué des premières analyses d’impact des politiques.

Jusqu'à présent, le cannabis est le plus souvent fumé sous forme de joint. Des formes de consommation alternatives comme les vaporisateurs et les e-joints peuvent réduire les risques liés à la consommation de cannabis. C'est ce que montre une étude mandatée par l'OFSP et réalisée par Unisanté à Lausanne en collaboration avec l'Institut de médecine de premier recours de l'Université de Berne (BIHAM).

Ce flyer a deux missions : 1. Donner aux jeunes des infos sur les puffs : dépendance, effets inconnus sur la santé, cible principale des publicités ... 2. Vous donnez à vous et à vos clients, patients et visiteurs un outil pour aborder le sujet avec les jeunes. Commande gratuite & informations : Vous pouvez le commander pour le mettre à disposition des professionnel·les de votre organisation, de vos patients et de vos clients par email : tabagisme@unisante.ch.

Alzheimer et les maladies apparentées demeurent pour l’heure incurables. Il est cependant possible de réduire le risque d’en être atteint-e. Vous trouverez ci-après des informations utiles.

L’année 2022 en chiffres : quels produits à base de tabac et de nicotine sont consommés en Suisse ? Comment évolue la consommation de ces produits ? Le nouveau cahier thématique de l’Office fédéral de la santé publique OFSP répond à ces questions et à bien d’autres.

Les législations en lien avec le tabac évoluent en Europe et la Suisse reste moins restrictive en comparaison. De très nombreux pays ont mis en place des mesures fortes concernant l’affichage des produits du tabac, la publicité dans la presse, le parrainage national, la vente aux mineurs ou le tabagisme passif. D’autres législations se répandent concernant la publicité et la visibilité des produits sur le lieu de vente, les paquets neutres ou la consommation dans la voiture.

Les recettes publicitaires liées aux produits du tabac dans les médias suisses sont estimées en 2022 à 14,5 millions de francs, soit 40 % de plus qu’en 2021. La presse écrite est le média qui bénéficie le plus de ces montants (61%) ; les produits du tabac à chauffer sont les principaux produits concernés (2/3 des montants totaux). Pour les médias, les recettes publicitaires liées aux produits du tabac sont marginales. Ces données ont été relevées par Media Focus et analysées par l’OFSP.