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Quiconque consomme simultanément plusieurs substances psychoactives s’expose à des conséquences imprévisibles. Il est difficile de prévoir les effets que cette combinaison aura sur le corps ou le psychisme. Dominique Schori, responsable d’équipe chez Saferparty Streetwork, informe sur les risques, la prévalence et la prévention de la polyconsommation.

Liste des labels et distinctions pour les communes et les villes établie par l'OFSP et Promotion Santé Suisse. Textes et liens en allemand ou en français.

rapport en allemand, résumé en français. Dr. Manuela Spiess, Ricarda Ettlin, MSc en psychologie, Dr. Cyrielle Champion, Dr. Francesca Rickli socialdesign ag, 2021

Les écrans et les différents outils numériques, tels qu’Internet, font partie intégrante du quotidien des jeunes adolescent·e·s, que ce soit pour se divertir, s’informer, apprendre ou communiquer. Ils présentent de nombreux avantages mais aussi, dans certaines conditions d’usage, des risques pour la santé et le développement des jeunes.

Résultats de l’étude « Health Behaviour in Schoolaged Children » (HBSC) 2018; Marina Delgrande Jordan.

Soutien et accompagnement dans le cadre du travail de prévention et de conseil auprès des parents et proches d’enfants, d’adolescents et jeunes adultes. Le concept a été élaboré par le GREA en collaboration avec le Fachverband Sucht dans le cadre du mandat de l’OFSP « Cyberaddiction en Suisse ».

En Suisse, la plupart des jeunes font un usage intensif des nouveaux médias. Ce n’est toutefois problématique que pour une minorité d’entre eux. La transmission d’une compétence médiatique permet de prévenir les risques.

En Suisse, une large palette de jeux d'argent est disponible. Loteries, paris, machines à sous constituent des loisirs plus ou moins réguliers pour beaucoup de gens. Mais pour certains, jouer peut devenir une charge et conduire à l'endettement.

L'activité physique constitue un moyen thérapeutique efficace pour les personnes souffrant de maladies non transmissibles (MNT), de maladies psychiques ou de problèmes d’addiction. Néanmoins, cette forme de thérapie est encore insuffisamment utilisée en Suisse. L'OFSP souhaiterait l’ancrer davantage dans la système de santé suisse. À cette fin, la ZHAW a élaboré des recommandations qui mettent en lumière les mesures envisageables dans ce domaine :

Dans quelle mesure la consommation de cannabis contenant du THC constitue-t-elle un danger au volant ? Une étude actuelle de l’institut de médecine légale de l’Université de Bâle répond à cette question. Ses auteurs concluent qu’à partir d’une concentration comprise entre 3 et 4,1 nanogrammes par millilitre (ng/ml) de sang, les automobilistes sont autant affectés que s’ils présentaient un taux d’alcoolémie de 0,5 pour mille. Le risque d’accident augmente à partir d’une valeur de THC de 5 ng/ml.