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Le 24 mars 2023 s’est déroulée la première session des personnes handicapées en Suisse. Les participants ont rappelé que, dans notre pays, environ 1,8 million de personnes sont concernées. Certaines d’entre elles sont également touchées par les addictions, mais les contributions à ce sujet sont rares. L’inclusion et les besoins spécifiques ne sont que rarement thématisés. Pour cette raison, Prévention.ch présente quelques réflexions sur le sujet.

Les rayons UV du soleil peuvent endommager notre peau et nos yeux, mais ils sont aussi essentiels pour que notre corps puisse produire la vitamine D, indispensable à la vie. À l'approche des vacances, découvrez comment profiter des bienfaits des rayons du soleil et éviter leurs risques grâce à des règles de conduite simples.

Comment les déterminants sociaux influencent-ils la santé de la population suisse? Trois tables rondes, auxquelles ont participé 17 spécialistes provenant de la théorie et de la pratique, visaient à développer une compréhension plus poussée dans ce domaine. Elles ont permis de discuter des approches prometteuses, des bonnes pratiques et des mesures pour renforcer la santé sociale. Les contributions ci-dessous présentent quelques résultats de ces rencontres.

Dans le cadre des stratégies nationales Prévention des maladies non transmissibles et Addictions, les organes responsables fixent chaque année une priorité de mise en œuvre qui détermine le thème de la conférence des parties prenantes. En 2023, il s’agira de la santé et du social. Le 20 juin, environ 250 personnes se sont rencontrées et ont discuté de la manière de renforcer les interfaces entre les secteurs de la santé et du social.

Le 30 mai 2023, Infodrog a organisé le 6e symposium QuaTheDA, en collaboration avec l’OFSP. Le label QuaTheDA (pour Qualité Thérapie Drogue Alcool) est la norme de qualité de l’OFSP pour le domaine des addictions, de la prévention et de la promotion de la santé. L’événement portait sur l’assurance qualité numérique dans le domaine des addictions ainsi que sur le développement des outils QuaTheDA existants. Ce recueil vous propose les principaux outils QuaTheDA et revient sur le symposium.

De nombreuses personnes prêtent des vertus relaxantes à l’alcool ou admettent en boire pour réduire le stress. Un verre d’alcool à l’occasion pour se détendre après une journée stressante ne pose pas de problème. Mais si cela devient une habitude, la prudence est de mise. Gérer le stress en optant pour des alternatives non addictives est important. Recourir à l’alcool ne peut pas être la solution : c’est pourquoi la Journée nationale sur les problèmes liés à l’alcool aura pour thème le stress.

Environ un adulte sur quatre en Suisse est atteint d’hypertension. Beaucoup d’entre eux l’ignorent, car cette maladie n’entraîne aucun symptôme. Mais il ne faut pas en sous-estimer les conséquences : l’hypertension est à l’origine de la moitié des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques. Son traitement permet de diminuer le risque d’affections rénales, de cécité et de démence. Plus tôt la maladie est détectée, mieux on peut y remédier en modifiant son mode de vie.

En Suisse, nous consommons bien plus de sucre que ne le recommande l’Organisation mondiale de la santé. L’excès de sucre nuit à la santé et favorise l’apparition de maladies non transmissibles. La réduction de la consommation, par exemple par la diminution des sucres ajoutés, permet de promouvoir la santé et de faire de la prévention. Ci-dessous, vous trouverez des articles sur les conséquences de la consommation de sucre et les mesures permettant de la réduire.

Un quart de la population suisse est atteinte d’une maladie chronique physique ou psychique, ce qui représente 65 % des consultations de médecine générale, 80 % des coûts de la santé et des coûts indirects élevés pour l’économie. Les personnes concernées sont affectées à tous les niveaux : physique et psychique, mais aussi par des changements dans leur travail, leur famille et leur environnement social. Elles doivent donc pouvoir compter sur des soins coordonnés et des points de contact fiables.

Souvent, les offres en matière de santé n’atteignent pas les groupes allophones, pauvres et peu formés. Il en va de même pour les personnes incarcérées ou atteintes de troubles psychiques ou de traumatismes. Or, ces groupes défavorisés doivent également avoir accès aux offres de prévention et aux prestations de notre système de santé pour pouvoir améliorer en toute autonomie leur santé et leurs compétences en la matière.