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Dans le cadre de la pandémie Covid-19, l'Office fédéral de la santé publique OFSP a initié une discussion entre experts en addictions. Cette discussion en anglais a été enregistrée sur vidéo. Vous trouverez dans cette collection deux articles de synthèse : Les spécialistes ont discuté des effets de la pandémie sur le domaine des addictions, mais aussi de la nécessité de poursuivre la réforme de la politique en matière de drogues.

En Suisse, de nombreux enfants vivent avec un parent qui a une consommation problématique d’alcool ou d’une autre substance. Bien souvent, ces parents présentent une addiction, et les enfants concernés souffrent en silence. Les conséquences sont graves, car un tiers de ces enfants et adolescents lutteront à leur tour contre une addiction à l’âge adulte, et un autre tiers développera plus tard une maladie psychique. Autant de raisons de s’intéresser de plus près à ce sujet :

Détecter le cancer avant qu'il ne se développe ou avant que les symptômes n'apparaissent, et augmenter ainsi les chances de guérison : Tel est l'objectif du dépistage du cancer. Mais dans quels cas des examens de dépistage à grande échelle sont-ils utiles ? Quels programmes de dépistage du cancer sont actuellement proposés en Suisse ? Dans quels domaines une extension de l'offre serait-elle souhaitable ? Et comment bien informer les groupes cibles ? Vous trouverez les réponses dans ce recueil.

Tout le monde peut être touché par un évènement bouleversant ou une situation critique. Dans ces moments de vie, la probabilité de développer une consommation ou un comportement à risque, ou de montrer d’autres signes d’une évolution défavorable (p. ex. maladie psychique) augmente. Souvent, l'entourage perçoit un changement à un stade précoce. Il est fondamental d’ouvrir un dialogue à ce moment. Vous trouverez dans ce recueil différentes aides à cet effet.

L’alcool, le cannabis et les médicaments représentent un grand danger sur la route pour les consommateurs et les autres. Ces substances diminuent l’aptitude à conduire et peuvent provoquer des accidents. En 2021, en Suisse, 1849 personnes conduisant sous leur influence ont provoqué des accidents avec dommages corporels. La grande majorité de ces accidents étaient dus à l’alcool. Au volant, il faut donc garder les idées claires et renoncer à l’alcool et aux substances psychoactives.

act-info (acronyme d’addiction, care and therapy information) regroupe diverses statistiques du conseil et de l’aide en cas d’addiction en Suisse. Addiction Suisse collecte les données sur mandat de l’OFSP. Le rapport annuel sur l’aide en cas d’addiction 2021 et la fiche d’information correspondante sont disponibles.

En Suisse, quelque 500 000 personnes sont diabétiques. Dans le monde, ce chiffre s’élève à environ 425 millions. Entre 2021 et 2023, la Journée mondiale du diabète est placée sous le thème de l’accès aux soins. Il s’agit de rappeler que les personnes diabétiques n’ont de loin pas toutes accès au traitement dont elles ont besoin. Or, cet accès est essentiel, car il permet de prendre les mesures préventives appropriées et d’éviter de nombreuses complications et comorbidités.

NIGHTS se déroule du 10 au 12 novembre à Zurich. Il s’agit de la principale conférence internationale sur la culture urbaine des loisirs. Des personnes actives dans le milieu de la nuit et des festivals s’y rencontrent pour discuter de thèmes de santé publique, comme la consommation de substances ou la réduction des risques. Dans cette collection, vous trouverez des articles publiés sur prevention.ch en lien avec la consommation de substances dans le cadre de la vie nocturne.

Le 5e forum SELF Promotion à l’autogestion sera l’occasion de présenter le concept de promotion à l’autogestion, harmonisé en 2022. Ce document facilite la compréhension commune de la promotion à l’autogestion, non seulement entre les régions linguistiques de la Suisse, mais aussi entre les professionnels, les personnes concernées et leurs proches. Les participants s’intéresseront également à l’expérience de la France : que pouvons-nous apprendre de nos voisins français ?

La pauvreté rend malade, la maladie rend pauvre. Nos conditions de vie et notre état de santé ou notre comportement en matière de santé s'influencent mutuellement. Les mesures visant à renforcer la santé et les compétences en santé doivent atteindre tout le monde, indépendamment du statut social, de la langue, de l'origine ou du niveau d'éducation. En facilitant l'accès à la promotion de la santé et à la prévention, il est possible de réduire les différences de santé entre groupes de population.