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Une étude de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), publiée dans The Lancet, revient sur la consommation d'alcool et les cancers. La consommation d'alcool est liée de manière causale à de multiples cancers. Cette étude présente des estimations mondiales, régionales et nationales de la charge de morbidité imputable à l'alcool en 2020 afin d'éclairer la politique en matière d'alcool et la lutte contre le cancer dans différents contextes à l'échelle mondiale.

Une équipe d'experts en épidémiologie, psychologie, économie, médecine et santé mentale propage recherche à grande échelle sur les conséquences à long terme de COVID-19 sur la santé mentale. L'anxiété, la dépression et le stress ont augmenté au cours des premiers mois de la pandémie. Le rapport présente sept recommandations (une urgente, deux à court terme et quatre permanentes) pour soutenir la santé mentale pendant la pandémie et au-delà.

Infodrog publie le rapport "Cannabis, cocaïne, ecstasy & co. - Actualités du monde des substances psychoactives " qui présente une analyse des données de l'enquête 2020 sur les personnes qui consomment des substances psychoactives ainsi que l'évaluation de l'outil en ligne d'alertes sur les substances. Un autre chapitre est consacré à la politique en matière des drogues et aux actualités scientifiques.

L'EMCCDA publie son rapport sur les connaissances et les derniers développements dans le domaine des drogues et de la prison en Europe. Cette publication donne un aperçu des connaissances actuelles et des derniers développements dans le domaine de la consommation de substances et de la prison en Europe. Le rapport explore en profondeur l'épidémiologie de la consommation de drogue et des problèmes liés à la drogue au sein de la population carcérale.

Les événements de vie sont des déterminants sociaux qui peuvent influencer la santé et les comportements en matière de santé. Comprendre leurs liens positifs ou négatifs est important pour les initiatives de promotion de la santé. Devenir parent, la retraite, l'université ou la perte d’un emploi, autant de situations qui ont un impact sur la consommation de substances, le poids ou l’activité physique. Cette analyse a été réalisée par le Centre LIVES sur mandat de l’OFSP.

Comme on le sait, l'année dernière a été dominée par le coronavirus. Cela a également touché le thème du tabagisme, de sorte que le FPT a été impliqué dans "Tabagisme et Covid". Mais le FPT a également soutenu de nombreux autres projets - par exemple avec le nouvel instrument des contributions forfaitaires des cantons.

Les chutes sont la deuxième cause d’accident en Suisse. Le programme de prévention des chutes « La sécurité au quotidien » de la Ligue suisse contre le rhumatisme est proposé depuis 2011 au domicile des personnes âgées et fait l’objet d’un suivi scientifique régulier de la Zürcher Hochschule für Angewandte Wissenschaften. Les résultats de la nouvelle étude démontrent clairement que le programme de prévention des chutes a permis de réduire les chutes et d’économiser des coûts en termes de santé.

En quoi la pandémie de COVID-19 a-t-elle affecté l'offre et la consommation de drogues? Quelles drogues causent à l'heure actuelle le plus de préoccupations? Quelles sont les dernières tendances en matière de production et de trafic de drogues? Sur la base de données provenant de 29 pays (UE 27, Turquie et Norvège), le rapport présente le panorama le plus récent sur la situation en matière de drogues en Europe.

L'étude sur les compétences en santé en Suisse a été menée de 2019 à 2021. Un échantillon représentatif de l’ensemble de la population suisse (dès 18 ans) a été interrogé sur les difficultés rencontrées dans le traitement des informations relatives à la santé. Les résultats permettent d’évaluer le niveau de littératie en santé de la population suisse.

Dans quelle mesure la modification des facteurs de risque et les mesures médicales contribuent-elles à la diminution de la mortalité due aux maladies cardiovasculaires ? Une enquête a été menée par la ZHAW pour le compte de l'OFSP. L'étude montre que la diminution de la consommation de sel et l'augmentation de l'activité physique, notamment, ont permis de réduire la mortalité due aux maladies cardiovasculaires entre 1997 et 2017.