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La prévention doit continuer, même après le diagnostic. Une bonne hygiène de vie aide également les personnes atteintes d’Alzheimer ou de maladies apparentées à ralentir l’évolution de la maladie et à éviter les complications.

Une alimentation saine et équilibrée a des répercussions positives sur notre santé et fournit des nutriments essentiels au cerveau. Cela réduit le risque de développer la maladie d’Alzheimer ou d’autres formes de démence. De plus, des habitudes alimentaires saines permettent de prévenir les problèmes de santé tels que l’hypertension, le diabète ou l’obésité, qui favorisent à leur tour notamment le risque de développer la démence d’origine vasculaire.

À ce jour, la maladie d’Alzheimer et les autres formes de démence sont incurables. En tant que maladies chroniques, elles ont une évolution progressive. C’est pourquoi la prévention est très importante. Prévenir ces maladies poursuit plusieurs objectifs. Adopter une bonne hygiène de vie et traiter les problèmes de santé existants permet de réduire le risque. D’autres mesures permettent de retarder la progression d’une maladie déjà déclarée et d’éviter certaines complications comme la malnutrition.

Chaque année, Alzheimer Suisse publie les nouveaux chiffres de prévalence à l’occasion de la Journée mondiale de la maladie d’Alzheimer. À l’heure actuelle en Suisse, quelque 153 000 personnes sont atteintes d’Alzheimer ou de maladies apparentées. On estime que le nombre de personnes touchées atteindra 315 400 personnes d’ici à 2050 dans notre pays. Ces maladies restent pour l’heure incurables. Il est donc crucial de miser sur la prévention.

Alzheimer et les maladies apparentées demeurent pour l’heure incurables. Il est cependant possible de réduire le risque d’en être atteint-e. Vous trouverez ci-après des informations utiles.

Sept patients sur dix souffrant d’arthrose prennent des compléments alimentaires.1 Outre la chondroïtine et la glucosamine, il s’agit principalement de remèdes à base de plantes dérivés de la griffe du diable, de la moule verte ou du piment. Les spécialistes de la médecine complémentaire conseillent de combiner ces trois éléments pour lutter contre les affections articulaires rhumatismales.

L’alcool, le tabac, le manque d’activité physique et les mauvaises habitudes alimentaires sont les principales causes des maladies chroniques, aussi bien en Suisse que globalement. En la matière, l’engagement de la Suisse s’inscrit dans les plans d’action globaux et européens de l’OMS.

Dans la vision "Gesund leben auf einer gesunden Erde", les domaines de la vie humaine - se nourrir, se déplacer, habiter - sont conçus de manière saine et respectueuse de l'environnement, et les risques planétaires - changement climatique, perte de biodiversité, pollution - sont maîtrisés. Les systèmes de santé utilisent leur potentiel de transformation, l'éducation et la science favorisent les changements sociaux.

Le marketing ciblé sur les enfants pour des aliments riches en graisses saturées, en acides gras trans, en sucres libres et/ou en sodium a une influence néfaste sur les choix alimentaires et la consommation de nourriture des enfants, influence leurs souhaits d'achat aux adultes et affecte le développement de leurs normes de consommation alimentaire. Ce guide contient des recommandations et des considérations de mise en œuvre pour les mesures de protection contre le marketing pour enfants.

Cet ouvrage en libre accès offre une vue d'ensemble des maladies non transmissibles. Il met l'accent sur les maladies cardiovasculaires, le diabète, le cancer et les maladies respiratoires chroniques, ainsi que sur leurs cinq principaux facteurs de risque communs (tabagisme, consommation nocive d'alcool, mauvaise alimentation, manque d'activité physique et pollution atmosphérique). Il est utile aux décideurs politiques ainsi qu'aux professionnels de la santé publique et de la pratique clinique.