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La campagne du Dry January se déroule pour la deuxième fois, en Suisse. Elle consiste à faire une pause, durant le mois de janvier, de consommation d'alcool.

Le forum SELF sʼest tenu le 9 novembre 2021. Près de 80 personnes y ont participé. Divers exposés passionnants ont été présentés sur le thème : « Apprendre les uns des autres : comment atteindre les proches ? ». Et les ateliers ont donné lieu à des échanges intensifs pour chercher des solutions possibles. La vidéo donne la parole à Sibylle Glauser, du conseil SELF des personnes concernées et à Sandrine Pihet, professeure à la Haute école de santé de Fribourg.

Le forum SELF sʼest tenu le 9 novembre 2021. Près de 80 personnes y ont participé. Divers exposés passionnants ont été présentés sur le thème : « Apprendre les uns des autres : comment atteindre les proches ? ». Et les ateliers ont donné lieu à des échanges intensifs pour chercher des solutions possibles.

En s’appuyant sur l’exemple d’Anna, atteinte de sclérose et d’arthrite, le film met en lumière ce que permet d’accomplir une bonne autogestion. Anna livre un aperçu des multiples situations déterminantes de son parcours-santé. Le cas d’Anna souligne le fait que les professionnels doivent être sensibilisés à l’importance de la promotion de l’autogestion et de leur rôle.

Lors du Forum SELF du 9 novembre 2021, environ 80 personnes ont discuté du thème "Apprendre les uns des autres : comment atteindre les proches ?". Vous trouverez ci-dessous quelques photos de l'événement.

La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est l’une des maladies non infectieuses les plus répandues. En Suisse, elle touche environ 400 000 personnes. La BPCO n’est pas guérissable, mais plus tôt elle est découverte, plus son évolution peut être ralentie et la qualité de vie maintenue. Le programme d'autogestion de la Ligue pulmonaire intitulé « Mieux vivre avec une BPCO » aide les personnes atteintes à améliorer leur qualité de vie.

Une meilleure utilisation des informations sur la santé conduit-elle effectivement à une meilleure santé ? Selon les résultats d'une vaste étude suisse, tous les groupes de population ne peuvent pas traduire une meilleure compétence en santé en une meilleure santé. Cela dépend d'autres facteurs d'influence tels que le niveau d'éducation et le statut socio-économique. L'amélioration de la littératie en matière de santé est donc toujours importante, mais pas suffisante pour parvenir à une meilleure santé.

La professeure Meichun Mohler-Kuo présente son étude sur les conséquences du COVID-19 pour la santé psychique des enfants et des adolescents à l’occasion de la conférence des parties prenantes de la Stratégie nationale Addictions, le 16 septembre 2021. Nous lui avons posé quelques questions sur les résultats de l’étude.

Vue d'ensemble des publications de Promotion Santé Suisse les plus récentes portant sur la promotion de la santé dans les communes et les villes:

Au cours des dernières années, beaucoup de choses ont été faites pour informer, éduquer et conseiller les patientes et les patients. Les dernières découvertes sur les compétences en santé en Suisse montrent cependant que plus de la moitié de la population a du mal à comprendre, à traiter ou à utiliser des informations sur la santé. Il est dès lors fondamental de disposer de stratégies et de méthodes pour communiquer plus efficacement.