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Le rapport entre état de santé et situation sociale, connu depuis longtemps, est aussi bien documenté par la recherche. Pourquoi, dans ce cas, continuer à traiter de façon distincte les thématiques de la santé et du social ? La conférence des parties prenantes de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et de l’Office fédéral des assurances sociales (OFAS) a permis d’évaluer le potentiel de la collaboration intersectorielle et interprofessionnelle.

Les présentations de la séance plénière, des deux sous-plénières et des huit ateliers peuvent être téléchargées sur le site de l'OFSP :

Lors de la conférence des parties prenantes sur les stratégies nationales de prévention, des professionnels de la santé et du social ont discuté de la manière de renforcer les interfaces entre leurs domaines de spécialité. Le dessinateur Crazy David les a écoutés et il a transposé ses impressions sous la forme de dessin. Vous trouverez le résultat ici dans la série d'images :

La Commune de Chavannes s'est lancée dans un projet avec un triple pari associé à une approche intergénérationnelle et interdisciplinaire. Il s’agit d’agir sur l’implication citoyenne en construisant des activités locales, créer des plus-values de « qualité sociale » et impacter la santé. En entretien, Monsieur Alain Plattet, chef de service de la cohésion sociale de la commune de Chavannes-près-Renens, nous partage son expérience liée à ce projet intitulé Cause commune.

Dans le dernier numéro du magazine "objectif sécurité" du Bureau de prévention des accidents, lisez l'interview de Thomas Steffen, président de Santé publique Suisse et de Thomas Siegrist, directeur du Bureau de prévention des accidents. Un entretien sur la responsabilité individuelle, la communication efficace en matière de prévention et sur le degré de maladie et d'accident acceptable.

Environ 250 personnes ont participé à la conférence commune des parties prenantes sur les stratégies nationales Prévention des maladies non transmissibles et Addictions. Dans le cadre de deux séances sous-plénières et de huit ateliers, les participants ont discuté de la manière de renforcer les interfaces entre les secteurs de la santé et du social. Quelques impressions de la manifestation :

De quoi a-t-on besoin pour réussir un projet visant à renforcer la santé sociale ? 17 spécialistes ont abordé cette question lors d’une table ronde sur les déterminants sociaux de la santé. Elle a permis de formuler une liste de facteurs de succès :

La Matière à réflexion fmc n° 6 traite de la question de savoir comment le système de santé et le système social peuvent mieux coopérer. Il montre les expériences faites par les personnes concernées à l'interface entre les deux systèmes et les structures de soins déjà existantes au niveau international et national pour promouvoir la collaboration. En conclusion, il décrit les défis à l'interface des deux systèmes et donne des recommandations d'action pour réussir une meilleure collaboration.

Pour faire face à l'augmentation du nombre de cancers de la peau, les Pays-Bas misent sur l'information - et la crème solaire gratuite. Les distributeurs de désinfectant hérités de l'époque de Corona sont désormais remplis de crème solaire et doivent permettre aux gens de s'enduire plus facilement de crème solaire à la plage, dans les parcs urbains, sur les places, dans les zones piétonnes, lors des festivals de musique ou dans les écoles primaires.

Le corps, la psyché et le social – ces trois dimensions ont une influence sur notre santé et sont étroitement liées. La promotion de la santé globale ne peut donc réussir que si elle est intersectorielle. Le numéro 137 de spectra se penche sur les défis à relever à l'interface entre la santé et le social.