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90% des diabétiques présentent des manifestations orales. Malheureusement, beaucoup ne sont pas conscients du lien entre le diabète sucré et la santé bucco-dentaire. Un changement de mode de vie, des examens dentaires réguliers axés sur l'examen parodontal et le renforcement des instructions en matière de santé bucco-dentaire peuvent prévenir efficacement les complications bucco-dentaires. Les dentist-e-s devraient donc être davantage impliqués dans les soins des patient-e-s diabétiques.

Diabetes UK présente les principales maladies consécutives au diabète et explique comment les prévenir ou les retarder.

Le diabète sucré est l'un des principaux facteurs de risque de complications et de décès liés à la maladie de COVID-19. Cette étude met en évidence les nombreux défis posés par le manque de ressources dans le traitement des diabétiques pendant l'épidémie de COVID-19 dans les pays en développement.

L'impact des mesures de lockdown peut être important et concerner les aspects cliniques et psychosociaux de la santé. Cette étude examine l'impact de COVID-19 et des mesures de lockdown sur les diabétiques de Singapour et conclut que les diabétiques souffrant de comorbidités multiples et de troubles mentaux antérieurs devraient bénéficier d'un suivi clinique et d'une attention accrus pendant une pandémie.

L'insuline est essentielle pour le traitement du diabète. Un rapport de l'OMS met en évidence l'état alarmant de l'accès à l'insuline et aux soins du diabète dans le monde et constate notamment que les prix élevés, la faible disponibilité de l'insuline humaine, les quelques fabricants qui dominent le marché de l'insuline et la faiblesse des systèmes de santé rendent l'accès à l'insuline difficile. Il propose en outre des mesures concrètes pour améliorer la situation.

Les personnes atteintes de maladies de longue durée et leurs proches doivent faire face à de multiples défis et à d’importantes difficultés. Afin de les soutenir, l’OFSP investit dans la promotion à l’autogestion. L’été dernier, il a remanié le concept de promotion à l’autogestion dans le cadre d’un processus participatif mené en collaboration avec des spécialistes de toutes les régions linguistiques. Nadine Stoffel-Kurt, responsable de projet, revient sur l’état de la promotion à l’autogestion.

Une étude menée au Royaume-Uni montre qu'une courte durée de sommeil est associée au début des maladies chroniques et de la multimorbidité, mais pas à la mortalité ultérieure chez les personnes souffrant de maladies chroniques. Le risque accru de multimorbidité associé à une longue durée de sommeil à un âge avancé et chez les personnes souffrant déjà de maladies pourrait refléter le besoin de dormir plus longtemps chez les personnes souffrant de maladies chroniques sous-jacentes.

Même si 10000 pas par jour sont largement vantés comme étant bénéfiques pour la santé, il existe peu de preuves à l'appui de cette recommandation. Cette étude tente de démontrer le lien entre le nombre de pas par jour ainsi que la fréquence des pas et la mortalité totale. Elle conclut qu'un plus grand nombre de pas par jour est associé à un risque de mortalité globale progressivement plus faible. Ces résultats soulignent l'importance de la promotion de l'activité physique.

En Afrique du Sud, le pays avec le plus grand nombre de personnes infectées par le VIH, le diabète tue désormais plus de personnes que le VIH. La question se pose comment intégrer le traitement des maladies non transmissibles (MNT) dans les soins du VIH. D'autres pays africains sont également confrontés à ce problème, car la charge de morbidité sur le continent se déplace des maladies infectieuses vers les MNT et les personnes infectées par le VIH deviennent plus vulnérables aux MNT avec l'âge.