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Les parents n’ont pas besoin de connaissances spécifiques pour pouvoir parler avec leurs enfants de substances psychoactives! L’essentiel est dans le dialogue, dans l’écoute et la confiance réciproque. En savoir plus sur les produits donne cependant plus d’assurance.

Ce site est un projet des cantons romands, il est destiné à toutes les personnes qui cherchent des informations ou de l’aide sur le jeu excessif: joueurs, proches ou professionnels.

La pandémie et les mesures prises par les autorités pour freiner sa progression ont bouleversé notre quotidien. Elles ont aussi modifié la situation en matière d’addictions. Pour répondre aux questions du grand public et des professionnels, Addiction Suisse fournit des conseils pratiques et publie une série de points de situation sur les addictions.

Est-ce que vous vous posez des questions sur votre propre consommation d'alcool ou d'autres substances psychoactives? Etes-vous en souci par rapport au jeu de hasard? Etes-vous trop souvent en ligne? Etes-vous inquiet parce qu'un-e proche a un problème de consommation? Dans cette rubrique, vous trouvez des informations qui peuvent vous aider.

L’élaboration des programmes de prévention se fonde sur deux questions essentielles : « Quels sont les facteurs responsables de l’apparition d’un comportement problématique ? » et « Quelle intervention permettra-t-elle de réduire ou de supprimer ces facteurs ? ». Ces deux questions relient la théorie de l’étiologie à celle de l’intervention.

Coronavirus, stress et addictions : oser demander de l’aide

Résultats de l’étude Health Behaviour in Schoolaged Children (HBSC)

Parmi les jeunes de 11 à 15 ans, un quart environ utilisent souvent les réseaux sociaux pour échapper à des sentiments négatifs; environ 4% présentent même un usage problématique. L’enquête nationale menée par Addiction Suisse auprès des élèves apporte un nouvel éclairage sur leur utilisation des écrans.

Une comparaison internationale montre qu’en matière de consommation de tabac et d’alcool, les jeunes de 15 ans en Suisse se situent au milieu du classement, mais qu’ils figurent dans le haut du classement pour ce qui est du cannabis. Publiées ce jour, les données de l’étude internationale HBSC, réalisée sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé (OMS-Europe), donnent un aperçu des comportements de santé des élèves dans plus de 40 pays.

Le projet « Structure et produits du marché des stupéfiants » (MARSTUP) est né d'une volonté de collaboration de trois Instituts de recherche lausannois qui travaillent depuis de nombreuses années sur la question des stupéfiants : Addiction Suisse, l'Ecole des sciences criminelles (ESC) de l'Université de Lausanne et l'Institut universitaire de médecine sociale et préventive (IUMSP) du CHUV.