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Quatre experts et une experte ont discuté en 2022 de l'expérience de la pandémie dans le domaine de l'addiction ainsi que des défis actuels. La discussion en anglais a été enregistrée sur vidéo. Cette bande-annonce résume les principales déclarations.

Dans le cadre de la pandémie Covid-19, l'Office fédéral de la santé publique OFSP a initié une discussion entre experts en addictions. Cette discussion en anglais a été enregistrée sur vidéo. Vous trouverez dans cette collection deux articles de synthèse : Les spécialistes ont discuté des effets de la pandémie sur le domaine des addictions, mais aussi de la nécessité de poursuivre la réforme de la politique en matière de drogues.

Dans l’ensemble, ces personnes ont mieux traversé la pandémie qu’attendu, tant au niveau physique que psychique. Telle est la conclusion présentée par cinq spécialistes lors d’une table ronde tenue durant 2022 et disponible en vidéo. Le groupe d’experts revient en outre sur la pandémie de COVID-19 en évoquant l’engagement des professionnels, certains constats surprenants, les défis qui subsistent et les améliorations provoquées par la pandémie.

Cinq experts se sont rencontrés pour discuter du travail effectué dans le domaine des addictions pendant la pandémie de COVID-19. Ils ont aussi débattu de la politique actuelle en matière de drogue et sont tombés d’accord : pour le bien des personnes souffrant d’une addiction, il faut changer cette politique et changer le statut des substances illégales. Ils s’engagent pour cette cause, en tant que défenseurs des personnes souffrant d’une addiction.

Un∙e jeune de 15 ans sur trois a consommé au moins un produit tabagique ou nicotinique au cours des 30 jours ayant précédé l’enquête. Les taux les plus élevés concernent la cigarette électronique. La hausse par rapport à 2018 est préoccu-pante.

Dans plusieurs pays du monde, de nombreuses femmes n'ont qu'un accès limité aux soins de santé, alors qu'elles sont souvent plus exposées aux facteurs de risque de MNT en raison des normes de genre et d'autres facteurs tels que la pauvreté, l'éducation ou même le marketing. Il est essentiel d'adopter une approche sexospécifique des MNT afin de réagir de manière appropriée, conformément à la couverture sanitaire universelle et au agenda pour le développement durable.

La plupart des décès liés à l'alimentation sont liés à une consommation excessive de sodium, dont il a été démontré qu'elle entraînait une augmentation de la pression artérielle et un risque accru de maladies cardio-vasculaires. La consommation moyenne de sodium dans le monde dépasse de loin les besoins physiologiques et est plus de deux fois supérieure à la recommandation de l'OMS. Le rapport met en évidence les progrès réalisés jusqu'à présent en matière de mesures politiques et leurs effets.

Il existe déjà de nombreuses preuves du lien entre l'activité physique et la prévention du diabète de type 2. Une méta-analyse a maintenant examiné l'impact de l'activité physique sur les complications liées au diabète. Les résultats montrent que le risque de complications diminue avec l'augmentation de l'activité physique. Même un niveau d'activité physique inférieur aux recommandations de l'OMS réduit le risque relatif de complications liées au diabète.

L'agence américaine des médicaments a autorisé en janvier la substance active lecanemab contre la maladie d'Alzheimer. Il a été démontré que Lecanemab réduit certes le déclin cognitif, mais qu'il ne peut ni stopper ni guérir la maladie. De plus, la substance active n'a été étudiée jusqu'à présent que chez des patients à un stade précoce de la maladie. Les interventions non médicamenteuses restent donc essentielles pour stabiliser ou améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de démence.

Le premier projet pilote de vente libre de cannabis à usage non-médical a débuté fin janvier à Bâle. Ce type d’essai-pilote qui vise à observer les effets du cannabis sur la santé des consommateurs et des consommatrices est à l’agenda de plusieurs communes en Suisse.