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Les nouvelles directives de l'OMS sur la qualité de l'air exigent un air pur. Du point de vue de la santé publique, chaque microgramme de pollution atmosphérique en moins est un gain important pour la santé. La qualité de l'air doit s'améliorer au niveau national et international, c'est ce que demande un article du Journal de l'Association suisse des médecins-assistant(e)s et chef(fe)s de clinique asmac (p. 32 et suivantes).

Un article paru dans la revue "Pédiatrie Suisse" montre comment le bruit chronique affecte la santé des enfants et comment le thème peut être abordé dans le traitement des enfants.

La revue "Aktuelle Kardiologie" a consacré un numéro à l'environnement en tant que facteur important pour notre santé. Les effets du bruit, des polluants d'air et de la 5G sur la santé y sont abordés. Il est en outre montré ce que les villes peuvent faire pour protéger la santé cardiaque de leurs habitants et le concept d'exposome est présenté, qui permet de décrire la somme de toutes les expositions qui nous affectent tout au long de notre vie et qui contribuent à des atteintes à la santé.

Le Centre de documentation sur l'air et la santé LUDOK rassemble les effets sur la santé causés par les principaux polluants de l'air extérieur et les présente sous forme de graphique. La représentation interactive permet de sélectionner un polluant ou un organe concerné et montre les effets respectifs sur la santé à court et à long terme.

L'étude SOPHYA a examiné pendant cinq ans le comportement des enfants et des adolescents en matière d'activité physique et de sport dans toute la Suisse. Les résultats montrent que l'environnement résidentiel et le comportement des parents influencent considérablement le comportement en matière d'activité physique pendant l'enfance et ont ainsi des répercussions à long terme sur la santé des enfants et des adultes plus tard. L'activité physique n'a pas diminué pendant la pandémie de COVID-19.

À l’occasion de la conférence des parties prenantes de la stratégie MNT consacrée au thème « Environnement et santé », Pascal Kipf fait valoir la perspective du mouvement pour le climat. Dans un entretien accordé à Spectra, il aborde les liens d’interdépendance entre la santé et la nature, ainsi que l’éco-anxiété et la thérapie par le jardinage. Il évoque aussi son souhait que le système de santé ne se concentre pas uniquement sur la santé humaine et soit conçu de manière plus holistique.

Notre cadre de vie influence notre santé psychique et physique. Dans sa dernière édition, le magazine « Forum du développement territorial » soulève la question de l’aménagement des villes et des villages qui est nécessaire pour que nous nous sentions bien et en bonne santé.

In Pro-Ana-Chats, also Gruppen, die Magersucht verherrlichen, dreht sich alles ums Abnehmen. Neben betroffenen Minderjährigen treiben sich in den Gruppen auch sogenannte Coaches herum, die Betroffene über Regeln und Bestrafung weiter in die Krankheit treiben. Die beiden Journalistinnen Marisa Haring und Nathalie Schaffner von «das Netz» haben zu solchen Pro-Ana-Coaches recherchiert.

Cinq questions à Nicole Bauer, psychologue de l’environnement à l’Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage WSL. S’il est idéal pour la santé de faire de l’exercice dans la nature, le simple fait de contempler la verdure par la fenêtre fait déjà du bien, estime la psychologue de l’environnement.

En Suisse, la qualité de l’air s’est grandement améliorée – malgré l’augmentation du trafic. Il reste toutefois des lacunes béantes dans la recherche sur l’environnement. Nous devrions à l’avenir davantage veiller à ce que l’environnement nous incite à bouger, explique Martin Röösli, épidémiologiste environnemental.