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L’année 2023 a été marquée par des débats publics autour de la visibilité de la consommation de drogue dans l’espace public. Addiction Suisse a participé à la discussion par son expertise. De plus, l'enquête nationale sur le bien-être des jeunes a suscité de nombreuses réactions. Lorsque la santé mentale des jeunes se détériore, le risque d’une consommation de substances psychoactives ou d’autres comportements problématiques augmente. Addiction Suisse se mobilise pour mieux protéger les jeunes.

Une étude a décrypté les mécanismes neuronaux et a découvert que les opiacés exerçaient deux effets différents via le même récepteur cellulaire dans deux régions différentes du cerveau. Le premier entraîne un effet euphorisant, le second un fort malaise lors du sevrage. Ces résultats remettent en question les modèles actuels de l'addiction et ouvrent une voie inédite pour améliorer les traitements de substitution et développer des antidouleurs.

Un bon repas empoisonné? Aussi étrange que du poison aux saveurs de fruits délicieux! À l'occasion de la Journée mondiale sans tabac, sous le slogan «Protéger les enfants de l'influence de l'industrie du tabac», nous avons réalisé des vidéos. Nous serions heureux que le plus grand nombre possible d'organisations et de particuliers les diffusent sur les réseaux sociaux. Notre objectif est d'inonder les réseaux sociaux le 31 mai avec nos messages sous le hashtag de Transparency and Truth #TnT.

Le manuel est conçu comme un outil pratique pour les personnes qui travaillent à titre professionnel avec des enfants, par exemple dans les écoles, les hôpitaux ou des services sociaux. Il propose des approches pratiques pour «faire» la participation des enfants et la faire fonctionner pour tous les enfants. Le manuel a été produit par le Conseil de l’Europe en collaboration avec des experts internationaux de la participation des enfants.

Les événements sont organisés par les jeunes, pour les jeunes. Les quelques 2300 coaches d’IdéeSport sont soutenu·e·s et accompagné·e·s par de jeunes adultes chef·fe·s de projet. Les événements sont participatifs : les participant·e·s et les coaches sont consulté·e·s lors de leur conception et mise en œuvre. Grâce à la collaboration de personnes clés de la commune et de spécialistes du domaine, le projet bénéficie d’un ancrage local.

En mettant sur pied la Journée mondiale sans tabac 2024, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle à mieux protéger les enfants et les jeunes contre l’influence de l’industrie du tabac. En Suisse aussi, des organisations de promotion de la santé et de prévention cherchent à informer sur ce phénomène. Cette collection présente les articles et les démarches en ce sens.

Selon l’Indice mondial d’interférence de l’industrie du tabac, il n’y a qu’un seul pays dans le monde où les cigarettiers s’immiscent davantage dans la politique du tabac qu’en Suisse. Notre pays occupe l’avant-dernière place du classement européen pour ce qui est de la politique du tabac et même la dernière en ce qui concerne la protection des enfants contre le marketing du tabac. Et voilà à présent que le Parlement fédéral fait obstacle à la mise en œuvre de l’initiative «Enfants sans tabac».

En Suisse, un adulte mange près de 9 grammes de sel par jour, ce qui correspond à une consommation moyenne de 75 % supérieure à celle recommandée. Une consommation élevée de sel a des effets néfastes sur la santé. Tandis que l’industrie agroalimentaire est appelée à réduire la teneur en sel des produits transformés, les consommateurs peuvent prendre soin de leur santé en mangeant de façon équilibrée et en limitant leur consommation d’aliments transformés.

En Suisse, les adultes ingèrent près de 9 grammes de sel par jour, alors que la quantité recommandée est de 5 grammes. La consommation moyenne de sel est donc supérieure d’environ 75 % à la valeur préconisée. L’étude commandée par l’OSAV se penche également sur d’autres paramètres tels que la consommation de potassium, la tension artérielle et l’indice de masse corporelle (IMC).

Durant l’été 2023, l'Institut Tropical et de Santé Publique Suisse a interrogé 1800 personnes âgées de 50 ans et plus sur leurs compétences individuelles pour gérer la chaleur. Par « compétences », on entendait connaître les mesures possibles pour se protéger, savoir comment la chaleur affecte sa personne (perception du caractère éprouvant et risque pour la santé) et comment agir, notamment en appliquant les recommandations à suivre.