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Au cours des cinq dernières années, au moins 35 jeunes sont morts en Suisse en raison d'une consommation mixte de drogues avec des médicaments et de l'alcool. Les spécialistes craignent qu'il s'agisse d'un phénomène nouveau et croissant. On en sait encore peu sur les tenants et les aboutissants - c'est pourquoi la collecte de données et l'élaboration de connaissances de bases constituent actuellement la priorité de l'OFSP.

La publicité influence le comportement de consommation des enfants et des jeunes. C'est pourquoi l'OSAV s'engage à réduire la publicité pour les aliments sucrés, gras, salés ou trop riches en énergie qui s'adresse aux enfants.

Une publicité en ligne ciblée sur les offres d'aide en matière de dépendance pourrait aider les personnes concernées. Depuis un certain temps, l'utilisation de Google Ads dans ce domaine est difficile, voire impossible. Cela signifie que la diffusion d'annonces publicitaires sur certains termes de recherche (comme l'aide aux personnes dépendantes) n'est pas possible. Un rapport de l'agence Feinheit examine la situation actuelle.

Comment la Suisse est-elle devenue un pays précurseur dans sa prise en charge sociale de la toxicomanie? "Addictions" revient sur les moments clés, des années 1970 à nos jours, qui ont mené la Suisse à adopter une politique innovatrice en matière de drogue, devenant un modèle pour les pays du monde entier.

En Suisse, la majorité des gens se sentent en bonne santé. Toutefois, plus d’un tiers de la population vit avec une affection durable, et les troubles psychiques ont augmenté – chez les jeunes femmes notamment. C’est ce que révèle l’enquête suisse sur la santé 2022. Les résultats montrent encore que la prévention et la promotion de la santé sont des piliers centraux de notre système de santé.

Le crack est un mélange de sel de cocaïne et de bicarbonate de soude qui se fume dans des petites pipes. Facile à obtenir, il est bon marché, présente un fort potentiel addictif et ne cesse de proliférer. De nombreuses villes sont de plus en plus confrontées aux problèmes qui en découlent : les personnes ayant une consommation à risque ne parviennent plus à se reposer, manquent de lieux de séjour, et les scènes de drogue se multiplient.

La pratique régulière d’une activité physique contribue à la santé psychique et physique. Pour inciter la population à bouger davantage, il faut créer un nombre suffisant d’espaces ouverts propices à l’activité physique et au sport, en veillant à ce qu’ils soient interconnectés et faciles d’accès. À quoi ces espaces pourraient-ils ressembler? C’est la question qui a été débattue lors du forum.

Les lignes directrices pour l’aménagement d’espaces propices à l’activité physique aideront les parties prenantes à mettre sur pied leurs projets de planification et de construction visant à faire bouger davantage la population.

Associés au projet, les représentant-e-s des groupes cibles ne sont plus des destinataires passifs, mais des acteurs à part entière. Leurs expériences sont intégrées directement dans le développement et la mise en œuvre du projet. Ainsi, le groupe cible peut contribuer au façonnement des structures, des processus et des mesures qui le visent afin qu’ils soient adaptés à ses véritables besoins et à ses conditions de vie.

Pour développer des informations sur la santé qui atteignent également les groupes cibles défavorisés.