Articles

Dans le Living Museum de Wil (SG), les personnes atteintes de troubles psychiques peuvent se réaliser par le biais de l’art. Le but : changer leur identification de la personne en souffrance à l’artiste, dans une ambiance de partage, de solidarité et de créativité. prevention.ch a rencontré Rose Ehemann, la directrice du Living Museum, pour parler du projet. Elle est convaincue que l’existence du Living Museum est profitable pour la société toute entière.

La CPS encadre l’évolution des paysages suisses. L’objectif sectoriel 4.3 est consacré à la santé, à l’activité physique et au sport. En effet, le paysage et la nature incitent à faire du sport et de l’exercice. La Coordination des actions de la Confédération sport-territoire-environnement, réunissant quatre offices fédéraux, met en œuvre cet objectif pour promouvoir la santé dans les espaces urbains et de détente de proximité et les activités physiques et sportives dans la nature.

Comment l’architecture et l’aménagement du territoire peuvent-ils promouvoir l’activité physique ? Les éditions Hochparterre, en collaboration avec l’OFSP, répondent à cette question dans le cahier thématique «Allez, on bouge!». Un environnement bien aménagé favorise l’activité physique. Associer des spécialistes de la promotion de l’activité physique et de la santé à la conception architecturale et à l’aménagement du territoire permet d’accroître la mobilité à l’intérieur et à l’extérieur.

ontécoute.ch est un site pour les jeunes romand·e·s âgé·e·s entre 18 et 25 ans. Il offre un espace d’expression sans tabou, au sujet d’une infinité de thématiques sur la santé, enrichi de réponses professionnelles et de partage entre pairs. Une multitude d’articles spécialisés est mise à disposition des jeunes, ainsi qu’un large panel d’adresses ressources. L'utilisation des différents services du site est gratuite et anonyme.

Les enseignants peuvent contribuer dans une large mesure à la promotion de la santé psychique des enfants et des adolescents dans le cadre scolaire. De nouvelles recommandations les aident à reconnaître les symptômes possibles d'une maladie psychique et, si nécessaire, à collaborer avec des spécialistes. Ils peuvent ainsi contribuer à ce que les élèves concernés reçoivent à temps l'aide dont ils ont besoin.

Mise à jour du rapport sur le coronavirus de Pro Juventute : De nombreux jeunes souffrent de solitude et d’un manque d’énergie, se sentent sous pression, craignent d’avoir une moins bonne formation et moins d’opportunités professionnelles, et ont des symptômes dépressifs. Par rapport à l’année précédente, le Telephone 147 a effectué en 2021 40% de consultations en plus portant sur les pensées suicidaires, avec 7 contacts par jour portant sur des intentions suicidaires.

ciao.ch est un site d'information, d'aide et d'échange autour de la santé pour les jeunes romand·e·s. Sa facilité d'accès et les nombreuses thématiques disponibles donnent à chacun·e l’opportunité d’apprendre, de demander conseil, de trouver du soutien de professionnel·le·s et d’échanger entre pairs. Un large panel d’adresses ressources est également à disposition. Tout est disponible de manière gratuite, anonyme et sur une plateforme sûre et supervisée.

A l’hiver 2020, le Conseil fédéral avait lancé la journée d'action sur la santé psychique en temps de pandémie. Avec le message « En parler. Trouver de l'aide », la population était incitée à parler de ses problèmes et à s’appuyer sur quelques repères : se focaliser sur ses points forts, mobiliser ses ressources, échanger et demander de l'aide si besoin. Un an plus tard, cette préoccupation reste d'actualité. Suivez les actions de l’OFSP sur les réseaux sociaux avec #enparler et #commentvastu.

Le coronavirus ne constitue pas seulement un danger pour notre condition physique ; la pandémie représente également une pression sur le moral de nombreuses personnes. Vous ne vous sentez pas bien ou vous vous inquiétez pour quelqu’un ? Essayez d’en parler. Si nécessaire, vous pouvez trouver de l’aide sur les plateformes Internet ou auprès de certaines organisations. En cas de soucis économiques, de solitude ou simplement parce que la vie n’est pas facile en ce moment.

La pandémie de COVID-19 place constamment la population suisse face à de grands défis sociétaux. Lancé fin mars 2020, le projet COVID-19 Social Monitor examine donc en continu les changements sociaux et sanitaires dans notre pays. Il se concentre sur : le bien-être général, l’état psychique et le sentiment de solitude.