Le conseil et la thérapie constituent une aide pour les personnes ayant une addiction ou une consommation à risque et pour leur entourage. La thérapie les aide à gérer leur addiction, voire à s’en défaire durablement.
La prévention des addictions vise à prévenir les conséquences de l’abus de substances et à éviter la dépendance. Ce domaine englobe des mesures générales de promotion de la santé, de prévention et d’intervention précoce.
Pour la plupart des gens, Internet est une composante importante de la vie privée et professionnelle. Toutefois, une minorité en fait un usage problématique ou de type addictif.
Les jeux vidéo ou les jeux d’argent peuvent créer une dépendance. On parle alors d’addiction comportementale. Des symptômes de type addictif peuvent apparaître en lien avec d’autres comportements problématiques (achats compulsifs ou utilisation problématique d’Internet), sans que l’on parle toutefois d’addiction.
Le tabac n’est pas seulement nocif pour les fumeurs. Le tabagisme passif augmente le risque de cancer du poumon, de maladies cardio-vasculaires et d’infection des voies respiratoires. Les enfants sont particulièrement menacés.
Les additifs sont des substances que l’industrie du tabac utilise à dessein dans ses produits, toxiques, afin de les rendre plus attrayants et agréables pour le consommateur et masquer certains effets indésirables.
60 % des personnes fumant quotidiennement souhaitent arrêter. Comme la nicotine entraîne une forte dépendance, il est souvent difficile d’y parvenir tout seul. Le soutien de spécialistes augmente considérablement les chances de succès.
Espérance et qualité de vie réduites pour les fumeurs
Actualités & contexte
22 septembre 2020
de
Office fédéral de la santé publique OFSP
En bref
Le tabagisme provoque de nombreuses maladies et entraîne une dégradation de la qualité de vie. Les fumeurs souffrent plus fréquemment de maladies chroniques non contagieuses (cancer des poumons ou troubles cardio-vasculaires).
Dans les pays industriels occidentaux, le tabagisme constitue le plus grand risque évitable pour la santé. En Suisse, 9500 personnes meurent chaque année des suites de la consommation de tabac. Les coûts supportés par la collectivité se chiffrent par milliards.
On suppose que de nombreuses substances chimiques améliorent les performances, même si cela n’est pas prouvé. Il n’existe par ailleurs aucune preuve tangible d’emplois abusifs systématiques. Pour l’instant, il faut donc améliorer les données disponibles.
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